Aaaah les derbys. Le genre de match où il y a un petit degré en plus dans la salle. Où tu sais que le résultat influencera la convers’ au Pickwick. Où la mousse d’après match a cette petite bulle en plus en cas de victoire, et ce petit arrière-goût amer en cas de défaite.
En ce dimanche matin, du monde sur le pont, une fois l’entrée (de gauche) trouvée. La feuille est remplie, au moins de notre côté. Les yeux sont plus ou moins ouverts, les haleines plus ou moins fraîches. Début du match, le moteur est un peu froid. Match sans vrai rythme, premier quart équilibré. Sans hyper bien jouer, on reste dans le match.
Qui dit deuxième quart-temps, dit deuxième vitesse. On la passe, et le All-Star se demande toujours où on est. Défense bien en place, attaque assez patiente. On encaisse un petit point en dix minutes, l’écart est creusé. 15 points d’avance à la mi-temps.
En deuxième, le moteur ronronne et le Tennis ne sera pas vraiment inquiété. Rach’ dirige la défense, Marc est présent en dessous (et plus c’est compliqué, plus ça rentre), Costa revisite le bras roulé, au grand dam d’une Ritalie un peu dépassée. Tout roule, l’écart grimpe, le Tennis gère, et ouf qu’on est sympa, sinon ça tournait à la correction. Cruise control enclenché, victoire à l’arrivée, 56-36.
La mousse est plutôt pétillante
Comme j’ai encore un peu d’encre)
Soulignons le beau match réserves, avec une seconde feuille à dix noms (ce dimanche fera date). Après un début de match somme toute équilibré, le Tennis perd un peu de terrain. Malgré cela, un sursaut d’orgueil verra nos couleurs s’accrocher, et revenir quelque peu. Les adversaires exploitent néanmoins assez bien leurs opportunités. Sergio fait la grue dans son coin, Vince se rappelle pourquoi le basket du nord du pays ne lui convient que moyennement… Et à l’arrivée, malgré les encouragements de la classe – assez littéralement – biberon et une belle combativité, le Tennis doit s’incliner d’une dizaine de points.
On notera que la troisième mi-temps a été remportée sans trop de difficultés, à la mousse comme à la pizza.
Un bon moment au bar avec tout le monde, et un bon moment après au Brussels. Parce que l’ASUB, c’est ça aussi.
Bonne nuit tout le monde
Et puis Philippe en action !!